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André Maïo, Matthieu Stahl, Sandrine Stahl
Cette exposition est construite comme un dialogue entre trois univers plastiques à la fois si distincts formellement mais si proches humainement et émotionnellement. On y retrouve ce qui faisait sens lorsque Sandrine Stahl, André Maïo, Christian Lehmann et Matthieu Stahl faisaient de la musique, un écho à la performance PETITE CHAPELLE : un savant dosage entre du rythme, des couleurs et des textures, le tout découpé en zone plus ou moins franches.
C’était au Grün, au bord de l’eau, c’était encore l’été, la rentrée. L’atmosphère était légère, les corps en apesanteur, l’attraction était à la fois céleste et terrestre. En 1ère partie, le groupe de rock, Gram Pass, envoutait avec ses textes, déclenchant ce mystérieux voyage intérieur que seuls les mots et la musique peuvent provoquer. Ils étaient plongés dans cette poésie avec envie, délice et fougue. Puis vint, PJ@MelloR, et là, en improvisant une danse folle, ils furent embarqués dans un magma sonore, se transmutant en une armée de bras, avec comme seules armes leurs rires et leurs pleurs. Au final, une sensation d’éternité. C’était au Grün, un soir d’été. Vous y étiez, je vous y ai vus vous aimer. Pour rien au monde je n’aurai raté cette rencontre.